Rapport 2: L’émoticône

Les émoticônes, ce sont des séries des codes qui sont transformés en spécial caractère sur des smartphones, des tablettes ou des ordinateurs.
Par exemple, les ” Kao moji”, sont des émoticônes qui ont la forme du visage humain, et qui présentent une variation des émotions en mettant accent sur les changements des formes des yeux (^^).
C’est la couleur jaune qui est le caractère de la majorité des émoticônes, mais ni la couleur ni la forme du visage ne sont pas indispensables dans un émoticône.

Vous envoyez un message par l’intermédiaire des caractères de votre clavier, et votre smartphone tourne ces caractères aux symboles ressemblants au visage humain, pour exprimer vos sentiments, ou parfois, pour donner une réponse courte.
Utilisation des dessins du visage pour exprimer des sentiments a une ancienneté, par exemple les Égyptiens profitaient de ces dessins dans leurs écritures pour transférer des messages.

Dans le temps moderne, et plus précisément depuis 1998, les Japonais, utilisaient des logiciels sur leurs téléphones portables pour créer des émoticônes, qui sont progressivement devenues une partie de la culture de la communication téléphonique au Japon. Dans peu des tempes des opérateurs des téléphones portables au Japon, deviennent des grandes bibliothèques des logiciels des émoticônes. Ainsi, ces émoticônes sont devenues aujourd’hui des symboles internationaux utilisés partout dans le monde.

Jusqu’il y a quelques années, nous étions obligés de chercher des mots corrects ou des phrases adaptées pour exprimer nos émotions, mais aujourd’hui, grâce aux émoticônes, nous avons la capacité de transmettre nos émotions à une autre personne en envoyant des petits symboles simples.
Les émoticônes ont ouvert des fenêtres vers des nouvelles méthodes pour écrire des histoires: on peut les utiliser pour créer l’ambiance, ces caractères simples peuvent facilement véhiculer la sensation de joie ou de tristesse cachée dans un texte.
Aujourd’hui, l’absence des émoticônes crée une défaillance profonde dans nos relations, comme l’absence d’un alphabet pour écrire un texte.

This entry was posted in Uncategorized. Bookmark the permalink.