Exposition de soi Rapport 1 – Marchall McLuhan et le graffiti

Malgré que quelques idées dans les théories de Marchall McLuhan qui peuvent pas paraître même valable aujourd’hui (comme la télévision comme un média froid), généralement ses idées peuvent être prolongées aux autres médias. Ceux qui sont apparu avant (comme analysée par Erkki Huhtamo), ou après la création de ses théories. Je voudrais parler d’un de ces médias – le graffiti.

À la base, les graffitis sont les lettres ou les images, une “prolongation de soi” de son auteur, son identité.  Dans le cas de street-art, l’oeuvre peut aussi avoir un “message”, un sens, destinée au grand public. Même que maintenant il y a les murs peint en arrangement avec l’administration locale, principalement le graffiti reste illégal.

Le graffiti est vraiment un média – et pas juste une échange des messages de la communauté des artistes, mais aussi une message “lisible” par tout le monde, et elle dépasse le sens des lettres.

Même que l’apparition du graffiti comme on le connait aujourd’hui est lié à les matériaux et principalement les bombes de peinture, le plus important est que le graffiti est fait dans l’espace public. Donc, selon le principe “le medium est le message”, les murs peints illégalement sont déjà une message:

  • Premièrement, le graffiti souligne l’existence de propriété privé et le forme d’aménagement urbain neutre et efficace. Cela inclut également la question de la publicité dans la ville. Étant légale, elle est fait sans le volonté des habitants, comme le graffiti, traitant l’architecture comme rien qu’une construction pour poser sa message.
  • Deuxièmement, le graffiti est lié à une système de sécurité, fait parfois exprès comme une mesure de le prévenir.  Le graffiti fait visible la”société de surveillance”, attentant de faire l’acte illégal et éviter d’être vu par le “panopticon”.

Dans les deux cas, le graffiti apparaît avec un potentiel de proteste.

Selon la classification de McLuhan, graffiti est un média froid, qui laisse un espace à l’imagination du spectateur.

C’est spécifiquement intéressant à examiner le graffiti comme “une extension de soi”, une prolongation de corps humain. Étant pas soumis à une fonction pratique, cet art devient un concours, où les objectifs sont de créer un dessin plus complique, dans une espace le plus visible, le plus difficile à accéder ou le plus répandu dans la ville que possible. Les artistes souvent écrivent ou dessinent les mêmes choses – son blase ou des personnages, qui peut servir à se prolonger dans l’espace de la ville.

Cette image, que j’ai choisi comme exemple, ce train porte un nom répété plusieurs fois. Bien sûr, “le train comme une message”, étant un mur mobile, va aider à diffuser le message à un plus grand nombre des gens.

Réferences supplementaires –  Jakub Dąbrowski “The medium is the message” – graffiti writing  as McLuhan’s medium

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