Le téléphone portable a considérablement changé notre rapport au monde extérieur comme dit dans un des précédents rapports. Aujourd’hui, on lit nettement plus qu’avant dans le sens où l’on est déjà envahi de pub d’une part mais surtout que les smartphones nous ont habitué a avoir constamment de nouvelles informations tout les jours en direct. Mais il en est de même pour la littérature. Grâce à internet, tout le monde peut maintenant devenir écrivain en deux clics. Mais il ne faut pas voir en ce fait une “dégradation” du vocabulaire puisqu’une œuvre mal écrite n’aura pas le même succès qu’une autre avec un vocabulaire riche et une histoire passionante. Le talent reste donc le moteur numéro un.
Il y a plusieurs moyen de publier son histoire:
– Gratuitement sur des forums, blogs …
– En se faisant rémunérer via des sites payants ou sur le marché virtuel.
Pour la deuxième alternative, les supports sont plus nombreux : il y a des tablette dont l’écran est adapté à la lecture où l’on peut stocker tout les livres acheté. Les smartphones bénéficient désormais de logiciels intégré de base dans le système permettant une lecture dans le métro par exemple. L’avantage de ces livres dématérialisés est que des auteurs n’étant pas assez reconnu pour publier un livre sur papier peuvent désormais se faire connaitre tout en vivant de leur métier.
Je pense que le phénomène n’est pas le même en France et au Japon du fait que les japonais sont encore en avance dans ce domaine, il est donc beaucoup plus important au Japon.