De nos jours la place des jeunes auteurs, parfois amateurs dans la création littéraire est au premier plan. J’entends par là, que par le biais de divers médias courants (internet, mobiles, …) il est plus facile de publier ses écrits. En effets la libéralisation du partage numérique permet à ceux qui n’ont pas de réseaux professionnels, qui sont de simples passionnés ou aux personnes qui n’en n’ont pas les moyens de “se montrer au monde”, du moins virtuels.
Cependant cette démocratisation de l’accès à la publication à tout de même permis à la littérature classique (publication papier) de s’émanciper de certains codes qui pourraient dans notre société contemporaine freiner la créativité littéraire elle-même.
En effet, en prenant leurs inspirations dans le mouvement surréalistes des années 1920, où l’ordre était constamment bousculé (typographies aléatoires, surimpression, …). Les écrivains d’aujourd’hui ne sont plus tenu à des règles strictes de mise en page et peuvent ainsi laissé totalement libre cours à leurs créativités tant sur le point littéraire que plastiques. Ce qui est très important car tout l’aspect d’une œuvre littéraire quel qu’il soit est créé afin de plonger en abîme de quelques manières que ce soit le lecteur.