Quand je pense quelles sont les différences entre les deux moyens de l’écrit : sur Twitter et sur papier, une d’entre elles est ce qu’il y a la limitation de quantité des lettres diffusées en même temps chez Twitter. Sur papier, on peut écrire ce qui se passe dans une histoire en détail sans limitation de lettre. Surtout avec l’alphabet, pour mettre moins de 140 lettres dans un tweet, on doit réfléchir bien à construire des phrases en faisant attention à la quantité de lettre ou bien il est possible d’inventer une nouvelle marnière d’écrire pour Twitter.
D’autre part, comme il faut mettre chaque fois un numéro d’épisode (00, 01, 02….) et un hashtag pour montrer aux lecteurs, la représentation littéraire peut être limitée encore plus.
En ce qui concerne l’autre point différent, c’est une risque que l’on ne peut plus mettre en ordre lorsqu’on a effacé un tweet et l’a corrigé après d’avoir déjà twitté plusieurs phrases. C’est-à-dire qu’il faut écrire d’abord tous les phrases ailleurs avant les soumettre. Sinon les lecteurs devront lire un micro récit désordonné.
Un des points positifs chez Twitter en comparaison de la littérature sur papier est la facilité de montrer le micro récit aux lecteurs. En plus, on peut facilement communiquer entre un écrivant et des lecteurs sur place.
Pour résumer, à mon avis il ne faut pas comparer entre un micro récit et un romain sur papier parce que la marnière d’écrire ou le processus de réalisation entre eux sont différents.