La culture de l’Otaku

Un otaku est une personne, qui consacre une certaine partie de son temps à une activité d’intérieur comme les mangas, jeux vidéos, animé ou encore le cosplay ;  mais les otakus seraient surtout un terme fesant référence au Japon  et a la culture qui l’entoure. Ce mot fut popularisé en France par la série” Bienvenues a NHK” qui décrit avec humour et réalisme les différents aspects qui caractérisent ces individus. Mais le terme otaku reste largement usité même s’il a évolué. Au xx siècle ce terme décrit toujours un individu obsédé par une passion exclusive qui lui sert de rempart face à une société qui ne lui correspond pas. Que l’on soit geeks, nerds, otakus, que l’on viennent des ETATS- Unis ou du Japon, il n’en reste pas moins un fond de culture en commun, ce que l’on appel, la pop’culture.

“Pop” comme populaire, au sens culture du peuple, on pourraient parlé de contre culture car on ne parle pas de culture réservé a l’élite, mais bien d’une culture venant du peuple. De plus au même titre qu’un geek, l’otaku serait un marginal, d’ou cette nouvelle culture marginale, pour les marginaux et ceux qui ne se reconnaitraient nul part. Les critères de cette culture seraient fixé par l’industrie et la société de consommation dans laquelle nous vivont, d’ou le principal intérêt pour ceux ci, la rentabilitée. On parle donc d’une culture accessible qui dans l’intérêt de celle-ci serait devenus une culture de masse dominante chez certaine tranche de la population, comme les jeunes. Le meilleur exemple Français de l’expenssion de cette culture serait le clip musical “ils sont cools” de Orelsan ou il y fais, et dans les parles et dans l’esthétique du clip, reférence a la culture otaku, tel que les mangas “saint seya” ou “dragon ball” .

http://www.youtube.com/watch?v=_DT-4-jJTZc<—-lien pour le clip

“Si cette culture a pris autant d’importance c’est dernières années, c’est que la culture devenus intégralement marchandise se doit, de devenir la marchandise vedette de la société spectaculaire”. autrement dit, cette culture n’est pas près d’arrêter sont parcourt, de par l’engouement et les chiffres d’affaires qu’elle suscite.

 

 

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