#140novel

Téléchargeable: Twitter novel ouvrages (2013)

twitter novel ouvrages

 

Hallucination instrumentale (Création littéraire 2014)
@mimi_okb

00 Durant tout un automne, jusqu’à l’hiver, un jeune pianiste français interpréta un grand nombre d’oeuvres avec la virtuosité des artistes.

01 Il était ravi, content, toujours avec un sourire sur le visage. Il savait que cet automne n’allait jamais s’effacer de sa mémoire.

02 Il en savourait toutes les notes, les sentiments et leurs nuances, aussi nombreuses que les teintes des feuilles couvrant le sol

03 Il innovait à chaque représentation et à la fin de chacune, recevait toujours un tonnerre d’applaudissements. Il s’en réjouissait.

04 Un jour le drame se produit, il ne pus jouer une seule note. Effrayé et pris de panique, il s’enfuit.

05 Pourquoi ? Lui même n’en avait aucune idée. Il ne pensait pas que ça lui arriverait aussi vite. Mais il l’avait prévenu …

06 Celui qu’il voyait dans ses moments de solitude. Lui qui savait toujours quoi faire, aujourd’hui il avait besoin de son corps.

07 Il avait besoin de le revoir, de le toucher à nouveau. C’était le seul moyen pour que tout redevienne comme avant.

08 Mais voila! plus le temps passait et plus cela devenait clair les touches de son piano et surtout les touches noires devenaient énormes

09 Car ce partenaire qui l’avait suivi depuis sa tendre enfance ne lui suffisait plus. Ses notes l’assourdissaient au plus au point.

10 Il n’en pouvait plus, il en devenait fou, que faire dans ces moments de démence ? Tant de questionnement, aucune réponse.

11 La solitude commençait a le ronger, les larmes retenus par ces yeux devait sortir….. il devait y aller, l’entendre une dernière fois.

12. La démence des artistes, celle qui déchire le coeur, celle qui détruit l’âme. Chaque notes qui ne sortait pas de son piano le tuait …

13 considération a 1 epoke écolo comen lé piano son fabriqué ,encore la parkas é écolo mé la lake et toxike é lé touch en ivoire ou es ce ?

14 Bim bam boom patatra pilu pilu ah la la la tam tam tam toc toc poum.
Je délire, mon esprit tambourine.

15 Où est mon piano ? Il ne me réconforte pas aussi bien que … lui, MAIS .. mais, au point où j’en suis. Aidez-moi. A qui je parle ?

16 Je n’ai absolument plus rien… personne ne m’écoute, pas même toi mon piano !

17 Je suis si mélancolique, mon piano, jouons ensemble comme aux jours heureux où rien ne nous ennuyaient.

18 Si ça marche plus, je crois que c’est pcq j’ai un peu trop abusé des champignons…Maintenant mon piano me parle chiffons !

19 Euh … Qu’est ce que je dis maintenant … ? Calme toi … CALME TOI ! Pourquoi j’ai mangé ces champignons … ? Mon piano … aide moi …

20 Il ferma les yeux. Il sentait les touches de son piano défiler sous ses doigts, et entendait la musique, racontant l’histoire de sa vie

21 Les larmes me montaient aux yeux, cette mélodie me touchait au plus profond de mon être. Si émouvant !

22 Je me laissais aller à cette mélodie, si réconfortante. Je me sentais à nouveau moi-même. Pas trop tôt.

23 J’allais m’asseoir par terre posant ma tête contre le piano pour entendre les maillets frapper les cordes de l’instrument.

24 quand soudain une averse éclata, je dû fermer la fenêtre pour ne pas être déranger, une fois cela accompli je repris mon travail …

25: Je continua sans cesse d’interpréter cette mélodie qui m’envoutait. A tel point que je ne puis m’arrêter, la fatigue parait disparaitre.

26 Avec une nouvelle souffle j’ai tourné ma tête vers la porte. La porte un peu ouverte. Je suis sûr que je l’ai fermée.. Suis je seul?

27 la poignée était froide,comme un coeur qui subit cette impression étrange comme un poème qui s’en va déjà une langueur pour chercher

28 j’ose poser la main dessus, la pousse tout doucement dans l’espoir de ne rien trouver derrière…

29 C’était un vain espoir. Je ne suis pas seule!!!

30 Ils étaient tous là à “deux mirages à droite”, je me réveillais enfin, j’étais allé au bout de mes hallucinations.

Fin Inutile de dire que l’insomnie dont j’avais eu le pressentiment me tourmenta pendant plusieurs nuits.

 

Caresses (Création littéraire 2014 )
@mRexhibition

00 L’oreille du chat est vraiment une drôle de chose. Mince et froide, elle est couverte de poils ras au-dehors et luisante au-dedans.

01 On rêverai de s’y glisser comme dans un toboggan Smoby touffu lumineux.

02 Elle est dure et douce à la fois, on pourrait lui faire des caresses, sans cesse …

03 Et au creux de cette oreille, y entendre résonner ses ronronnements

04 ces ronronnements ressemblait à un moteur d’avion, ça me donnais envie d’assommer ce chat au oreilles bizarres !

05 Mais il était tellement mignon le petit chat que je n’avais pas envie de le frapper car je me suis dis que tous les chats ronronneraient

06 Mais un esprit m’incitait à le frapper parce que je ne supporte pas les chats. Je ne supporte pas les ronronnements.

07 Je me souviens d’un article sur la trepanation ,le chat bouge ,vraiment il bouge come si il atrapait les petites souris ,mimi

08 Le chat bouge, se mouve. Il saute et se vautre. Le chat se déplace et s’efface, sans un bruit.

09 Cet animal est l’incarnation de la grâce et de la légèreté. ses yeux vert émeraude nous transportent dans une dimension fantastique.

10. La boule de poil allait et revenait en courant dans la salle. Ses pattes glissaient sur le parquet.

11 Et quand vient le soir, ce ne sont que ses yeux qui brillent dans le noir.

12 Et très vite, le chat s’était endormi. Alors je le regardais dormir. Il était paisible.

13 Ça je peux dire avec certitude, que le chat pour le moment était caché dans un autre monde inaccessible pour moi.

14 Deux mondes nous séparaient: Lui dans son petit cocon nuageux, paisible belle au bois dormant. Et moi dans l’enfer des routes goudronnées

15 je pourrais peut-etre entrer dans son monde, comme je préférerais la nature à la cité.

16. Mais comment faire ? Je n’en ai aucune idée. Je ne suis ni magicien, ni métamorphe…

17 Je pris le chat contre moi, le caressant, de la tête à sa queue. Ses poils étaient si doux. Il est si beau, si charmant. Comment faire ?

18 Soudain, il se réveilla, ses yeux se mirent à briller d’un éclat doré envoutant, puis, une lumière vive et et sereine. Et devant moi…

19 Ce n’était plus mon adorable petit chat! Un étrange et séduisant garçon avec des oreilles de chat me regardait avec un sourire charmeur..

20 Il s’approcha de moi, mit sa main sur ma joue puis il me dit :”Nya”…

21 “nyaaaaaaa” j’ai crié. La bete horrible qui se présenta devant moi me semblait inhumain.

22 Pourtant j’étais très attirée par ses yeux vert. Et son charme félin m’enivra, je me sentais fébrile et fiévreuse devant lui.

23 Je cligna des yeux plusieurs fois pour savoir si c’était vraiment réel ou pas. Dans mon geste, je regarda vers mes genoux et…Surprise !

24 Mon chaton était de nouveau là, j’ai dû rêver… Il tourna la tête vers moi d’un air curieux…

Fin Petit chat ! je t’en prie ! Reste un instant sans broncher. Tu es si prompt à sortir tes griffes !

 

 

@petiteheure

1 C’est l’histoire d’une petite fille, dont la malchance à fait qu’elle soit toujours seule et ce, depuis sa naissance.

2 Sa mère mourut après avoir accouché, quant à son père pour oublier la perte de sa femme, il passa toute ses journées au travail.

3 en oubliant sa petite fille. Il mourut quelques temps plus tard d’un accident de la route, il s’était endormi au volant.

4 La petite fille était alors âgée de 9 ans lors de la mort de son père.

5 Etant trop jeune elle fut envoyée dans un orphelinat dirigé par Madame Lili.

6 Madame Lili était une dame mûre et très gentille, elle savait trouver les mots pour redonner le sourie à la petite fille.

7 Mais il y avait toujours au fond de son cœur une grande part de solitude qui ne pouvait être guérie.

8 A l’école, la petite fille n’avait aucun d’ami, elle jouait toujours seule

9 Ses camarades de classe avaient peur d’elle, ils disaient qu’elle était étrange et qu’elle parlait toute seule.

10 La vérité était que la petite fille s’était crée un ami imaginaire avec qui parler, jouer et surtout oublier son chagrin.

11 Un jour ses camarades de classe avaient fini par la blessée, en lui disant qu’ils ne joueraient pas avec une enfant sans parent.

12La petite fille ne pouvait en entendre plus. Elle partit dans sa cachette secrète, pour pleurer à l’abri des regardes des autres.

13 Cet endroit, c’était le grenier de l’orphelinat;  personne n’avait le droit d’y entrer sauf elle.

14 c’était un privilège que le lui avait fait Madame Lili. Il y avait plein d’objets étranges dans le grenier.

15La petite fille se souvient que madame Lili lui avait parlé d’un miroir magique.

16 qui pouvait entendre le crie et les larmes de nos cœurs. Ce miroir était très grand mais aussi très vieux.

17 il avait été posé prés de la fenêtre du grenier.  La petite fille pleurait prés de ce miroir en disant.

18 « Pourquoi ? Pourquoi ça n’arrive qu’à moi ? » Après avoir pleuré pendant de longues minutes devant le miroir.

19 la petite fille essuya ses larmes, mais une chose étrange apparut.

20  le reflet de la petite fille dans le miroir, continuant de pleurer. Fin de la première partie.

 

 

 

@DoktorPotatoe

EP.00 Dans sa voiture, l’inspecteur Patrick Otato se dirige vers une scène de crime. La radio diffuse des chansons de fritz’metal

EP.01 Le chemin tortueux qui le menait vers une scène macabre était cerclé d’arbres aux feuilles vertes. Ceci apaisait P.Otato.

EP.02 Après trente minutes de trajet il arriva à destination. Un coin de forêt qui abritait une cabane, et devant elle un cadavre.

EP.03 Là, son adjoint Hachile Parmentier, et le nouveau photographe du légiste Larry Saulé l’y attendaient. Il salua les deux.

EP.04 Ils échangèrent des paroles sans intérêts, demandant à chacun comment il allait. Le classique “Alors, la frite?” s’entendit.

EP.05 Après cela P.Otato s’intéressa un peu à la masse gisant à ses pieds. Une entaille profonde mordait ses chaires au ventre.

EP.06 L’inspecteur constata qu’il devait s’agir d’une grande lame, sûrement une épée quelconque. La victime tennait un katana.

EP.07 Hachile lui dit que le cadavre n’avait pas de porte monnaie, mais qu’il figurait dans leur fichiers de grand banditisme.

EP.08 Il répondait au nom de Niô Kyy, c’était un maître bretteur qui enseignait au sein d’un gang yakuza la pratique du sabre.

EP.09 Sûrement avait-il péri dans un duel. Mais l’impact de balle entre ses deux yeux permettait d’émettre un doute.

EP.10 N’étant sûr de rien il faudrait trouver des indices et autopsier le corps. En attendant l’observation était de mise.

EP.11 Le renseignement selon lequel Niô Kyy avait quitté le gang lui arriva par radio. La cause de sa mort devait y être liée.

EP.12 L’hypothèse d’une punition grandit dans son esprit. On ne pouvait quitter un gang aussi facilement.

EP.13 Sur le conseil de Larry, Patrick prêta attention au sabre. Un nom était gravé sur le manche de ce dernier.

EP.14 “A.N.Onyme” pouvait-on lire. Les 3 se dirent que ce nom ne ferait pas avancer l’enquête.

EP.15 Le seul prénom en A qui leur venait était Agatha, mais ils devaient se tromper. En attendant ils mangèrent des poireaux.

EP.16 Plus tard ils reçurent un appel d’un haut gradé leur demandant de cesser les investigations pour éviter tout problème.

FIN. Tous 3 durent obéir. L’affaire fut conclue comme accident de chasse puis coupure légère lors de découpe d’une saucisson sec.

 

@Coraliech93

1 Nous étions le 25 mars Il faisait encore froid mais le  soleil tentait de battre les nuages

2 Je mettais alors levée du bon pied

3 Je pris mon petit déjeuner mes habits et la journée commençat

4 Sauf que une fois partie..

5 Je me rendu compte que j’avais oublié mon portable…

6 Mais qu’est ce que la vie sans portable ?

7 A vrai dire.. Pas grand chose!

8 J’étais déjà loin pour faire demi tour

9 Et j’étais préssée par le temps

10 Une fois à la gare, je pris le RER

11 Mais une foisd ans ce RER, il y avait pleins de problèmes …

12 Mais je ne pouvais prévenir personnes de mon retard comme je n’avais pas mon portable

13 Après avoir réflechis…

14 Je pris un autre RER mais cette fois ce RER retourné dans ma ville

15 Je pris mon bus et rentra chez moi!

16 Je me remis dans mon lit et ferma les yeux sur cette journée qui aurait été trop diffcile pour moi. FIN

 

@JackiieHan

01 Ce jour-là, j’avais quitté le boulot très tard le soir et j’avais réussi à attraper le dernier métro pour rentrer chez moi.

02 À cette heure tardive, il n’y avait quasiment personne, à peine une dizaine de voyageurs dans mon wagon, …

03 … je trouvais donc facilement une place assise, et m’effondra dessus, épuisée par la journée qui venait de s’écoulait.

04 Le ronronnement et le balancement du métro me berçaient et je somnolais dans mon siège, quand tout à coup le métro s’arrêta.

05 Apercevant quelques personnes pousser un soupir, je sus qu’on pensait la même chose: satanés problèmes de métro, …

06 … encore une fois, on allait rentrer à pas d’heure !

07 Attendant patiemment, certains continuèrent d’écouter leur musique tandis que d’autres reprirent leur lecture.

08 Imitant leurs gestes, je sortis un livre de mon sac.

09 Après quelques chapitres, je me rendis compte que l’on ne bougeait toujours pas et…

10 …qu’aucun message n’avait été diffusé par les haut-parleurs. Cherchant à savoir l’heure qu’il était, je farfouillais mon sac.

11 Impossible de mettre la main sur mon portable, j’avais dû l’oublier sur mon bureau !

12 En entendant un homme perdre patience, je compris qu’il s’était déjà écoulé une heure depuis que j’avais quitté le travail.

13 Après encore une heure, les lumières s’éteignirent et la panique s’installa dans notre wagon.

14 Tout le monde commença à crier et à rouspéter.

15 Quelqu’un alluma son portable pour qu’on n’y voit plus clair et tous les autres l’imitèrent. Sauf moi.

16 Il y avait un groupe de quatre adolescents à peine majeurs, un couple d’une trentaine d’années, deux hommes,…

17 …l’un d’une cinquantaine d’années affichant un air calme et un autre entre deux âges qui proférait insultes et…

18 … grossièretés envers l’incompétence de la RATP, faisant écho à une jeune femme aguichante et très maquillée.

19 Quelques minutes s’écoulèrent et nous commençâmes tous à étouffer, les fenêtres ne nous amenant pas assez d’air.

20 Nous avions fini par nous mettre chacun dans un coin, économisant notre souffle et bougeant le moins possible.

21 Soudain, l’homme qui vociférait un peu plus tôt se leva et essaya d’ouvrir les portes une à une. La femme l’y aida. En vain.

22 En désespoir de cause et après plusieurs essais, il fracassa l’une des grandes vitres en nous avertissant…

23 …qu’il allait aller lui-même à la prochaine station. L’homme plus âgé lui rappela que toutes les stations devaient être…

24 …fermées à cette heure-ci. L’ignorant, le grossier passa par la fenêtre. La femme et les adolescents tinrent à les suivre.

25 Le couple hésita et nous supplia de les suivre afin de rester groupé. Abdiquant, nous traversâmes aussi la fenêtre.

26 Étant dans le dernier wagon du métro, il nous fallut remonter tout le long du train.

27 En passant la lumière dans les autres wagons au passage, nous remarquâmes qu’ils étaient vides.

28 Étrange… Une ou deux voitures vides dans le dernier métro de la journée auraient été compréhensible mais tous… ?

29 Par ailleurs, aucune fenêtre et aucune porte n’étaient ouvertes ou brisées.

La place du chauffeur était tout aussi vide…

30 La panique qui s’était installée à l’extinction des lumières s’accrut. Mais l’homme grossier et l’homme plus âgé gardèrent…

31 …la tête froide. Nous commençâmes alors à nous aventurer dans les tunnels du métro.

32 Après plusieurs mètres, nous tombâmes sur embranchement. Certains dirent qu’il fallait à droite, d’autres à gauche.

33 Nous nous mîmes d’accord pour nous séparer. L’homme grossier voulait aller à gauche et la femme aguichante ne voulait pas…

34 …le lâcher. L’homme plus âgé affirmait que la bonne direction était la droite et j’en étais moi-même convaincue.

35 Le couple choisit de nous suivre et les adolescents décidèrent d’aller à gauche.

36 La batterie du portable de la femme lâcha après quelques minutes de marche. Se faisant, le bruit des rats se fit plus fort…

37 …comme s’ils étaient plus proche. La jeune femme sembla s’accrocher désespérément à son mari.

38 J’avais certes déjà aperçu des rats sous les rails depuis les quais mais je ne me doutais pas qu’il pourrait y en avoir autant.

39 La malchance fit que nous croisâmes à nouveau un séparation des voies. Le couple préféra rester ensemble et partit à droite.

40 Sentant ma panique contenue, l’homme me parla pour me calmer. Il possédait une grande sagesse et me faisait penser à…

41 …mon défunt père. Il me parla de tout et de rien.

42 Au bout de quelques minutes, je fis remarquer que nous marchions depuis un certain temps…

43 … l’homme acquiesça en fronçant les sourcils et alors qu’il retournait son portable pour regarder l’heure, plus de batterie !

44 Plongée dans le noir total, je m’efforçais de rester calme et parla avec l’homme pour garder un contact au moins auditif.

45 Mais il ne me répondit pas. Je l’appelais, je l’appelais, mais aucune réponse !

Je cherchais à tâtons autour de moi mais rien !

46 La panique me submergea tout à fait. Je hurlais son nom à présent en le cherchant à l’aveugle.

47 C’est alors que j’entendis un cri affreux à quelques mètres de moi.

48 Je me figeai sur place tandis que des larmes de terreurs coulaient sur mes joues.

49 Je serrais les poings pour ne pas que mes mains tremblent mais mes jambes étaient en coton.

50 C’est à ce moment-là que je sentis quelque chose sur mon pied. Quelque chose de vivant. Quelque chose qui gigotait.

51 Quelque chose d’autre grimpa sur mon autre pied. Puis une autre de ces choses grimpa sur ce qui s’était agrippé en premier.

52 D’un coup tout s’accéléra et des millions de ces choses se précipitèrent sur moi. Et je compris.

53 Des rats ! Des millions de rats partout sur mon corps !

54 Alors que je gigotais dans tous les sens, emplie de terreur, le poids de tous ces rongeurs me fit basculer à la renverse…

55 …et j’atterris par terre où encore plus de ces saletés sur pattes me foncèrent dessus.

56 Jusque-là j’avais refusé d’ouvrir la bouche, par peur que l’une de ces choses n’y entre, mais c’était sans compter leurs dents.

56 Jusque-là j’avais refusé d’ouvrir la bouche, par peur que l’une de ces choses n’y entre, mais c’était sans compter leurs dents.

58 Je sentis deux petites pattes sur mes lèvres…

59 … et quelqu’un me secouait par l’épaule.

60 “Mademoiselle ?! Mademoiselle !! Calmez-vous!”

61 J’ouvris les yeux et les cligner plusieurs fois pour m’habituer à la lumière. Les mines soucieuses…

62 … de l’homme âgé et du couple me fixaient.

“Vous allez bien ? Vous sembliez agitée dans votre sommeil.

– Oui oui, …

63 … ne vous en faites pas. Mais que…

– Ah le train vient de s’arrêter, ne vous inquiétez pas, il repartira sûrement bientôt.

64 – Pardon ?! Quelle heure est-il ?!”

La réponse qu’on me donna me tétanisa et un frisson me parcourut le dos.

FIN Un peu plus tard, c’est sans surprise mais avec une peur grandissante que je vis toutes les lumières s’éteindre d’un coup.

 

 

 

@jxu03

EP 01 Jack, jeune orphelin de 10 ans qui vivait dans un orphelinat dans le nord de l’écosse.

EP 02 Il rêvait d’une vie trépidante lorsqu’il sera plus âgé.

EP 03 Il s’imaginait pleins d’aventures, dont il serait le héros.

EP 04 Il voulait que les gens l’aiment et surtout ses parents, pour qu’ils soient fier de lui.

EP 05 Le manque de ses parents se faisaient sentir dans la personnalité de ce jeune garçon.

EP06 Il était téméraire, courageux, rien ne pouvait l’arrêter, pas même sa maîtresse préférée qu’il considérait comme sa mère.

EP 07 Un jour alors qu’il n’avait que 14 ans, l’orphelinat pris soudainement feu et Mrs margaret, sa maîtresse préférée péri.

EP 08 Il était anéanti, il sombra dans la délinquance, tout autour de lui était noirceur et tristesse.

EP 09 Il pensait que le monde était contre lui, il avait perdu ses parents dans un terribles accidents et la personne qui lui était le plus cher

EP 10 Jusqu’au jour il revit un camarade de l’orphelinat.

EP 11 Il apprit que le feu était intentionnel et que Mrs. Margaret a été tué.

EP 12 Il s’est alors questionné sur lui même, sur ses actes et il s’est juré de trouver le coupable de ce crime.

EP 13 C’est alors que commence les aventures de jack, à mille lieux de ce qu’il pu avait imaginé…..

 

@HysakiH 

01. Ce n’était pas facile d’être une petite sorcière, tant d’exigences sur ses épaules.

02. Faire peur aux autres enfants était son travail, un héritage familial sûrement…

03. Mais la jeune sorcière n’avait pas la joie d’effrayer les personnes “normaux”.

04. Spéciale, ou bizarre, c’était ce qu’on lui qualifia le mieux.

05. Elle avait l’honneur de porter le célèbre chapeau pointu et de longues robes noires.

06. Les couleurs vives étaient pour elle, une utopie.

07. Seuls les couleurs sombres étaient permis dans leur monde.

08. Heureusement les citrouilles, et les potions étaient de couleurs vives.

09. Halloween était la fête phare de son univers.

10. Les sucreries étaient une denrée rare, alors elle descendait souvent dans l’autre monde.

11. Elle découvrit aussi une culture différente, et avec des outils plus ou moins étranges.

12. Du ferrais permettant de visionner des informations était équivalent aux boules de cristal, enfin prèsque…

13. Les livres, mythes et légendes contèrent une vision corrompue de sa civilisation…

14. Elle se sentit désoler que ce monde ne voyait pas la vérité.

15. Malgré l’atmosphère funeste, il y avait de la festivité et de la joie.

16. Où les ombres étaient des lumières, elle vivait dans la plénitude.

17. Dans une tour suspendu dans les nuages, elle prospéra avec sa mère, grand-mère…

18. Et bien entendu son chat était noir, enfin… selon la tradition.

19. Mais un jour, lorsqu’elle était allée dans le monde des humaines.

20. Elle fut une rencontre assez étrange, un croque-mort.

21. Ou plutôt un apprenti croque-mort… il était lui aussi en noir.

22. Seuls ces humains pouvaient s’approcher des sorcières et monstres de tous genres.

23. Il ne semblait pas avoir peur de la jeune sorcière.

24. Mais quant à elle, elle était intimidé de savoir qu’il y avait des personnes qui côtoyer tous les jours la mort.

25. Sombre était peut-être le mot qui le correspondait le mieux.

26. Il avait une vingtaine année environ, il avait quelque chose qui interpella la fillette.

27. Quelque chose de familier voire de parenté, comme si elle le connaissait dans un passé lointain.

28. Oui… Un passé oublié qui ne pourrait jamais ôter des abysses de son cœur…

29. La petite fille se sentit triste, et n’écharpant pas au regard du jeune fossoyeur.

30. Il savait qui elle était, dû à une marque ou tatouage au cou reconnaissable des sorcières.

31. Soudain, la petite fille vint lui parler : « pourquoi occupez-vous des morts ? »

32. « Eux aussi ont leur monde, on les guide. Toi aussi, tu as un monde » disait-il avec un sourire humble.

33. « Mais pourquoi ces mondes ne sont-ils pas ensemble ? » répliqua de toute vitesse au jeune homme.

34. Il était surpris part la vivacité de la jeune sorcière, lui aussi ne savait pas …

35. « La vie prend des tournures étranges, c’est ce qui la rend mystérieuse  et sublime… » Il laissa un silence, puis il enchaina:

36. « Lorsque tu auras trouvé la réponse, reviens me voir » et cette fois-ci, son sourire était sincère.

37. Après cette rencontre, la petite fille revint souvent voir le croque-mort pour trouver la réponse.

-FIN- Ces deux mondes n’étaient pas si différents que ça finalement, pensa la jeune sorcière.

 

@Fanfanny88 

00 Je suis un chat.Je m’appelle Miollis.Il est joli.Enfin,c’est Fan,ma maîtresse,qui l’a inventé d’après un gros dictionnaire.

01 Je vis tranquillement dans une studio à Paris.Mais je suis pas toujours tranquille.Je suis sorti quelques fois avec Fan.

02Je dois dire que j’aime pas le façon de sortir.Parce que je suis fourré dans un petit sac.Un sac où je ne peux pas voir le ciel.

03Un homme qui porte du vêtement tout blanc est là.Il me sourit gentiment. Mais je le déteste.

04 Il est un démon qui a un visage de l’angle.Ses actes prouvent ma impression

05 Cet humain tient une piqûre assez gros comme mon bras et me pique sans pitié. Je veux le gratter et le mordre fortement.

06Mais ma maîtresse penses que tout ça est bien pour moi. Je ne comprends pas!

07 Je préfères rester à la maison.Je me sens à l’aise et en sécurité à la maison.

08 Franchement,Je suis le roi.Tout est à moi.Je dors partout,sur le lit,sur la chaise,sur le placard et sur l’ordinateur de Fan.

09 Je n’aimes pas son ordinateur.Il ressemble que ma maîtresse préfère l’ordinateur que moi.

10Elle regarde toujours l’ordinateur.Je ne comprends pas.Évidement,Je suis plus joli et élégant .Ce truc ne sait même pas miauler.

11 Je suis jaloux de lui.Donc quand la maîtresse est partie,je m’installes sur cet ordinateur et le sers comme mon lit.

12Pourquoi le chat mange toujours la croquette?Ma maîtresse me dit que j’ai des croquettes au poulet,au saumon et au bœuf…..

13 Mais je ne suis pas stupide!Je suis trompé.Elles n’ont aucun goût  différent.

14 Par contre,quand ma maîtresse mange de la viand délicieuse,je ne peux que la regarder à côté d’elle.

15 Elle me donne des morceaux car elle a vu un espoir dans mes yeux.Je suis content.Elle m’aime.Parce que je suis son roi.

16 Je suis très gourmand.J’adore le fromage,le pain au miel,le yaourt,le jambon,le lait,l’avocat….

17Mais le poisson m’intéresse pas.Ma maîtresse me trouve blizzard et dit qu’un chat qui mange pas du poisson n’est pas le bon chat.

18 Pourquoi le chat doit aimer le poisson?Un animal qui a le parfum blizzard?Moi,je n’arrives pas à vivre sans fromage.

19 On dit que le chat est un animal indifférent et solitaire.Mais c’est faux.

20 Je n’aimes pas que ma maîtresse me néglige.Quand elle dessine,je me balade sur des papiers et croque son stylo.

21 Je suis facilement jaloux à ses papiers et à son stylo.Fan y mets beaucoup plus attentions.Je veux la déranger.

22 J’ai une impression que Fan adore que je la dérange.Elle s’arrête et me murmure”petit coquin”.

23 Ensuite,elle tient le stylo et joue un jeu”la pêche”.Moi,j’essaies d’attraper le stylo.Ah!J’adores ce moment!

24 J’adore mes poils.J’ai une costume tigrée en marron et noir.

25 Chaque jour,je prends beaucoup de temps à me nettoyer.Je commence par la tête,après c’est mon dos,ma vente,mes pâtes….

26 J’aimes bien être propre.Et j’adore le parfum de ma maîtresse.Quand Fan m’embrasse,l’odeur du parfum est autour de moi.

27 C’est l’odeur de la fille!Je suis très heureux d’être un chat d’une fille.

28 “Miollis!Regarde!”Fan m’appelle.Je tournes la tête et la vois.Elle tient une conserve de thon et sourit vers moi.

29 “Miaou”Je cours vers elle.Oh!Elle m’aime et je l’aimes. FIN

 

@Yamato95

Ep1 : Une cité antique se dévoilait sous mes yeux, quant soudain une créature venu tout droit des enfers sortait des ruines!

Ep2 : La créature m’avait repéré et commençât à courir vers moi! Fuir était la seule option.

Ep3 : J’avais trouver une allée menant vers un passage étroit à l’intérieur des ruines!

Ep4 : Sans me retourné j’entendis des cris terrifiants et le sol tremblait, je ne voulais pas voir la taille du monstre qui me pourchassait!

Ep5 : Après cette expérience traumatisante je commençais à reprendre mes esprits et à raisonné logiquement … Les monstres n’existes pas!

Ep6 : Les ruines étaient très anciennes et abimée par le temps, mais les inscriptions restaient lisibles et ces révélations sont terribles.

Ep7 : Après avoir traversé toutes ces épreuves pour trouver cet endroit j’apprend que la vraie cité n’était pas là!

Ep8 : Je me suis donc décider a prendre des photos des inscriptions et à fuir le plus rapidement possible, sans alerté la bête.

Ep9 : En retraçant le chemin inverse que j’avais emprunté la surface me tendait les bras de sa chaleur douce et réconfortante.

 

@HerizoHxC

00/ Devant mon ordinateur, je réfléchis à ce que je vais écrire. Il est tard, je ne sais plus où mettre la tête…

01/ Je me ressaisis en secouant ma tête. Seulement, ce geste me démotive encore plus, mon corps tombe sous la fatigue.

02/ Je me retrouve dans un vide absolu, où l’espace est un tout mais n’est défini par rien, serais-je inconscient?

03/ Ma vision devient brouillon au fil du temps, comme si j’avais trop bu. Que se passe-t-il autour de moi, quel est ce monde?

04/ Puis la lumière éblouis ma figure; pour me protéger de cette lumière vive, je mis mes mains devant mes yeux…

05/ La lumière devenait moins forte ainsi, je fermais mes yeux le temps de reprendre mes esprits, et je retrouve mon ordinateur

06/ L’écran était noir, l’ordinateur était surement en veille à ce moment. Je touche la barre d’espace pour le rallumer.

07/ Je vois sur l’écran, des phrases incompréhensibles, des suites de lettres plus exactement, du style “njfczioaheiufibh”

08/ Ainsi je me rends comte de ce qui venais de se passer, je me suis endormis sur mon clavier. Je touche ma figure et,

09/ je sens les touches de clavier qui se sont appuyés contre moi. Je ricanne un coup et je me re-focalise sur mon devoir.

10/ Toujours sans inspiration, je soupires un grand coup et m’affales sur ma chaise de bureau. Je retombe dans la déprime.

11/ N’ayant envie de ne rien faire, je fermes mes yeux un instant et j’essayes de m’endormir, mais l’insomnie guette au tournant

12/ Mes yeux sot plissés, des larmes coulent sur les côtés et je n’ai toujours pas d’idée . Que doit-je faire pour régler ceci?!

13/ Rien à faire toujours. La lumière de ma chambre commence à disjoncter, je commence à trembler, de stress, de peur et de froid.

14/ Et soudain viens le déclic, pourquoi ne pas parler d’une histoire effrayante? De quelquechose donnant des frissons au corps?

15/ Je bondit sur ma chaise et commençait à improviser un texte effrayant, mais n’étant pas habitué à ce genre de texte,

16/ j’effaces les idées que j’ai écrit par peur d’avoir peur, je détestes avoir des cauchemars avant de m’endormir.

17/ Et c’est sur ce point que j’éteignit mon ordinateur, par une déception. Le goût amer dans mon esprit,

18/  je tombe de fatigue dans mon lit pour trouver le répit, et trouver en même temps l’inspiration.

19/ Le soleil ne s’est pas encore levé il est encore tôt. Après avoir perdu mes repères spatiaux, le temps me fit défaut

20/ Ainsi j’allumes mon ordinateur afin de mettre au propre quelquechose que je ne sais pas, que je ne trouves pas, indéfinissable.

Fin/ Ainsi, je définis l’indéfinissable. Une chose abstraite, prenant du temps à être conçu, mangeant nos songes et notre sommeil.

 

 

@7nana8hachi

00 J’ai un ami qui s’appelle Fumi-kun.

01 Bien qu’on n’avait pas de point commun entre nous, on se vit régulièrement.

02 Fumi-kun était un garçon inteligent de 13 ans.  Il disait toujours : je vais mourir dans cent ans.

03 J’étais carrément d’accord avec lui….oui oui, je vais mourir dans cent ans un jour.

04 Fumi-kun était collégien dans une école et j’étais un employé là-bas.

05 Je travaillais individuellement dans un des bureaux de l’école.

06 Il y a 3 mois, il a trouvé mon bureau situé au coin de bâtiment.  C’était lorsque je finis de ranger des dossiers sur la table.

07 Je jetai un coup d’œil à l’entrée du bureau donnée sur la cours, Fumi-kun s’y tint debout en me regardant.

08 Je lui dis : Bonjours, qu’est ce que tu fais là?  Il me répondit : Je te regarde.

09 Mais Il me regarda depuis quand? Je ne le remarquai pas.

10 Je lui interrogeai que c’était intéressant de me regarder comme ça.

Il répondit court : oui.

11 Comme j’avais du temps en ce moment là, alors je lui recommandai de boire un tasse du thé ensemble.

12 En général, je ne le fais pas car je préfère travailler tout seul.  Si bien que je choisis ce travail.

13 Fumi-kun commença de plus en plus à parler avec moi.

14 “L’année prochaine, on doit passer un concours pour entrer au lycée. Mais j’aime pas ça” dit il.

15 “Bah, c’est pour ton future, tu sais?” dis je.

16 “Non, je ne veux pas le dire, moi je ne peux pas le passer en fait” il continua à dire.

17 Je ne pus pas lui interroger sur ça car je dus partir du bureau immédiatement en ce moment là pour nettoyer une vitre cassée.

18 C’était également mon travail.  Je ne le détestais pas mais Je ne l’aimais pas.

19 Depuis ce jours là, comme il venait presque tous les jours, je l’accueillais dans mon bureau sauf si j’étais occupé.

20 La plupart du temps, on parla ensemble. Mais parfois je lui laissai lire des libres.

21 Dans le cas, il passait le temps silencieusement dans mon bureau.

22 Une fois, je me demandai pourquoi il venait tous les jours et restait  longuement dans mon bureau?

23 Mais je ne le demandai pas à Fumi-kun. S’il ne me dit pas, ça vaut dire qu’il ne voulait pas me le dire.

24 Un jour, lorsque je balayai à côté des parterres de l’école, j’aperçus Fumi-kun parlant avec son professeur dans une salle.

25 Je ne pus pas directement regarder son visage, mais je compris qu’il pleura.

26 Le professeur dit quelque chose à Fumi-kun comme s’il lui encouragea.

27C’était inquiétant, je pourtant changeai la place à balayer.  C’est parce que je craignis que Fumi-kun me trouve.

28 Le lendemain de ce jour là Fumi-kun vint à mon bureau comme d’habitude.

29 Il avait l’air normal…j’étais sur que quelque chose lui est arrivé, mais j’évitai de lui parler.

30 Depuis ce jour là, Fumi-kun ne vint plus à mon bureau.

31 Une fois je demandai au professeur sur Fumi-kun, il répondit ambigument.

32 Finalement je devins tout seul comme avant.  Fumi-kun disparut en laissant une seule mauvaise prédiction.

33 Sa disparition me donna une impression indéfinissable.

34 Elle m’illusionna qu’elle prend petit à petit ma durée.

35 Fumi-kun disparut en appuyant une bouton pour démarrer une dispositif qui gratte ma durée.

36 Oui oui….je vais mourir dans cent ans.  Mais c’est Fumi-kun qui contrôle quand je vais mourir n’est ce pas? Fin

 

@artsplastoc

1 Je dessinais, dessinais, dessinais, et une histoire s’écrivait.

2. Pourtant je n’avais aligné aucun mots, mais une histoire se formait

3. Puis, d’un simple coup de gribouillis, l’histoire disparut. Je l’ai tuée.

4. J’ai donné la vie et la mort en quelques secondes. Tout ce que j’ai fait pourtant, c’est dessiner.

5. Dessiner c’est ma vie, est-ce que je meurs en tuant mon dessin? Oui c’est ça, je suis mort. Fin.

 

@MoustikBleue

00/ Littéralement en mode larve sur mon bureau, le seul bruit résonnant dans  la pièce sont les tic tac tic tac tic tac de mon

01/réveil… D’habitude j’ai juste envie de l’exploser quand il ose me  réveiller le matin mais là il semble prendre un plaisir

02/sadique à me rappeler que je ne sais pas quoi dessiner…  Le symptôme de la feuille blanche, la pire chose qui puisse vous

03/ arrivez un soir d’insomnie alors que vous êtes à votre bureau, une  simple lampe de chevet allumée éclairant la feuille qui

04/ reste désespérément blanche … Et sans que le bruit du crayon grattant la  surface ne prenne le pas sur celui du réveil ! Arg

05/ saleté de nom de troll !

06/ *Tic tac tic tac*

07/ Pas moyen d’avoir une idée qui sorte et si j’ai le malheur de me forcer à imaginer des trucs ça donne … ça donne pas en fait

08/ , faut que ça vienne naturellement sinon ça va me sembler débile et complètement à l’opposer de ce que je fais.

09/ *Tic tac tic tac*

10/ Bon aller dernier recourt autant demander à un ami via texto s’il n’a pas quelque chose à me proposer… Quoique … Ouai 3h du

11/matin c’est peut être pas le moment sauf si je veux signer mon arrêt de mort … Qui aime être réveillé à une heure pareil pour

12/ un truc aussi futile. Et puis zut ! Je laisse le crayon décider on verra bien ce que ça donne.

13/ *Tic tac tic tac*

14/ Un mignon petit manga avec des oreilles de chat ?… NAN ! trop niais… Un truc plus réaliste style une bouche mâchant un stylo

15/ quatre couleurs ? NAN ! La flemme de faire un truc détaillé… Un simple brouillon d’un paysage londonien avec jack l’éventreur ?

16/  … Certes, certes c’est plus dans mes cordes… mais nan je ne sais pas faire les paysages.

17/ RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! C’est mauvais ! mauvais ! mauvais !

18/ *Tic tac tic tac*

19/ Bon restons calme, oui je suis énervée car je n’arrive pas à dormir mais ce n’est pas une raison pour me défouler sur ce

20/ pauvre papier, c’est vrai, il n’a rien demandé. En général les artistes dessinent leurs émotions ou des souvenirs… à ce qu’il

21/ parait… Miam noyer ma feuille sous des thèmes romantiques aussi dégoulinants… je vais adorer mais pour le moment je n’ai

22/ franchement rien d’autre qui me vient en tête… Et entre nous j’ai la flemme de réfléchir.

23/ Le tic tac va me servir d’aide pour un flash back et je garderai mon crayon à la main, pour une fois laissons l’inconscient

24/ se défouler… mais va savoir ce qui va en sortir, moi-même je redoute les tréfonds tordus de ma personne.

25/ *Tic tac tic tac*

*Tic tac tic*

*Tic tac*

*Tic*

26/ Le 1* Aout 2**2, c’est l’anniversaire de mon petit ami et comme d’habitude celui-ci refuse que je lui paye quoique se soit

27/ mais on c’est tout de même programmé une petite séance cinéma à 20h, ce qu’il ne sait pas c’est que j’ai l’intention de lui

28/ offrir sa place, je trouverai bien un argument valable autre que le fait que se soit un cadeau sinon il voudra me rembourser

29/ cet âne. Arrivé devant les affiches je le laisse choisir le film, il a opté pour un film d’animation racontant l’histoire

30/  d’une rousse voulant tracé son destin au détriment de sa famille… Soit pourquoi pas, personnellement j’hésitais entre

31/  celui-ci et un autre film parlant d’un président qui chasse des vampires.

32/ « Bon aller laisse moi t’offrir ta place de cinéma, au moins pour aujourd’hui ?! S’il te plaiiiiiiiiiiiiiiit ! »

33/ « … Ok si tu me laisses payer le M*c D* après ! »

34/ Miracle il a accepté … sous certaines conditions mais il a accepté, y a du progrès.

35/ « Ok ! »

36/ Le film se passe bien, des smarties, de l’ice tea accompagnés de bonnes tranches de rire, on sort vers 22h de la séance

37/ satisfaits tous les deux, lui qui n’aime pas trop d’habitude les productions de ce studio il dit que c’est bien le premier sur

38/ lequel il accroche. Tant mieux, au moins on aura passé une bonne soirée, direction «MANGER » maintenant, mon estomac réclame.

39/ Oui la nourriture est mon péché mignon et j’assume !

40/ On passe par le parc pour aller à ce resto, il fait nuit noir il y a juste quelques lampadaires qui éclairent notre chemin et

41/  y a pas un chat dans les parages … Bref le contexte idéal pour … mais à quoi pensez vous bande de pervers ? Je pensais au

42/  fait que c’était typiquement un décor de film d’horreur… Pourquoi ai-je l’affiche de « L’exorciste » qui m’arrive en tête…

43/  Brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr…

 

Bref on avance en parlant de nos impressions sur ce qu’on venait

44/ d’aller voir, quand soudain il me pique la bague que j’ai au doigt !

45/ « EH ! Rends moi ma bague ! »

46/ « Elle est trop grande pour toi de toute façon »

47/ « Oui mais j’y tiens ! C’est toi qui me l’avait donné pour… »

48/ « Et si tu essayais celle là ? » dit il en sortant une petite boite de sa poche et en se mettant à genoux…

49/ Imaginez ma surprise… Je sais que normalement une fille dite « normale » aurait fondu en larmes mais que voulez vous que je

50/vous dise à part que moi ma première réaction fut :

51/ « OH PUT**N DE BORDEL DE M*RDE !!!!!!!!!!!!!!! »

52/ Oui je sais mode casseuse d’ambiance romantique activated, je suis très douée pour gâcher ce genre d’atmosphère et puis

53/ bizarrement ma langue, mon vocabulaire c’est drastiquement réduit à 3 mots…

54/ Je vous met au défis de répéter une bonne trentaine de fois ces trois mots en moins de 5 min sans respirer…

55/ *Tic*

*Tic tac*

*Tic tac tic*

*Tic tac tic tac*

56/ Bon sang de troll, fallait que mon inconscient rêve de ça… 4h du matin et il y a maintenant sur ma feuille qui était jusque là

57/ blanche, le dessin d’une bague à l’éclat bleu, le même qui se trouve en ce moment à mon annulaire gauche…

FIN/  A croire que je reste une éternelle romantique malgré tout.

 

 

@RikuAngeel

1/ Des êtres qui vivent une existence pénible dans une vie au jour le jour, sans même savoir ce que l’avenir leurs réservent.

2/ Menant une vie tels des automates, ou chaque action, chaque parole est programée à l’avance, la ou l’originalité n’a de place.

3/ Vivre comme tel, l’unique moyen trouvé afin de jouir complètement de son existence, de sa vie mais surtout du monde.

4/ Mais, enegardons avec attention notre mode de vie, nous remarquons que beaucoup de questions peuvent nous venir à l’esprit.

5/ Quelle est la place que nous occupons sur Terre ? Pourquoi sommes nous venus au monde ? Quelle importance avons nous ?

6/ En somme, encore et toujours les mêmes questions; des questions sans intérêt et dont aucune réponse n’apportera de satisfaction

7/ Dans notre veine et futile condition d’être humain, nous ne sommes que des “jouets”, des “outils”, des “instruments”.

8/ Des instruments dans le long et terrible engrenage complexe et vicieux qu’est le Monde. Avec des vies sans valeurs.

9/ Que sommes nous à part un grain de sable dans l’immensité de l’univers? Juste des êtres facilement remplaçables et remplacés.

10/ On essaye tant bien que mal de se débarrasser de ce fardeau. Mais nous ne sommes que des jouets considérés comme défectueux.

11/ Je m’appelle Michaël Cross Dumont. Un des innombrables habitant de ce triste monde appelé la Terre.

12/ Je suis un de ces rebuts qui compose la société. Un des ces jouets défectueux composant le monde.

13/ Classé comme tel dès l’instant de ma naissance. Devant trainer ce fardeau car par faute de chance, ne fut né en bonne famille.

14/ Je suis un être ordinaire, je fais parti de ces milliards d’êtres humains qui dès la naissance ont une route toute tracée.

15/ Je n’ai eu l’opportunité de jouir d’une bonne condition sociale. “Ce ne sont que des êtres parmi tant d’autres”.

16/ Voila la toute la considération que nous sommes à même d’espérer de la part des ces personnes qui nous sont supérieurs.

17/ Ces personnes qui de part leurs naissances jouissent de la joie de faire parti des hautes strates de ce monde.

18/ Rien que d’y penser, je ne ressens de cela que du dégout, de ce peuple, de cette vie, de cette société.

19/ Jamais je ne me suis senti obliger de vivre en faisant semblant de ressembler à quelqu’un que je ne suis pas.

20/  En tout cas, pas avant de vouloir complètement m’intégrer dans le système. C’est quelque chose qui m’était invraisemblable.

21/ J’ai toujours mis un point d’honneur à être différent, ou plutôt à la recherche de quelque chose pouvant me différencier.

22/ Pour moi, pour pouvoir s’épanouir, il faut s’accepter, ne pas renier qui on est. Et surtout vivre pour soi, sa propre vie.

23/ Pour quelqu’un dont la notion d’être unique est plus forte que tout, je n’ai jamais accepter de vivre la vie d’un autre

24/ Toujours à la recherche d’un détail, d’une parole, d’une pensée, un comportement, en gros, tout ce qui différencie les êtres.

25/ Ceci n’est pas possible dans une vie en société. Être différent n’est pas un atout, loin de là. C’est même la pire chose.

26/ Longtemps j’ai lutter pour rester fidèle à moi même, longtemps j’ai lutter pour rester unique, pour rester différent.

27/ C’est facile de lutter pour ses objectifs, mais la réalité est tout autre, je me suis moult fois heurter à un mur.

28/ J’en ai beaucoup baver, j’ai essuyer des coups, je suis tombé encore et encore, je me suis relever.

29/ Je luttais pour un idéal, pour une chimère. Je ne luttais pas pour ce qui était juste, mais seulement dans mon intérêt.

30/ Mais pourquoi ai-je fais tout cela ? Dans quel but? Pourquoi endurer toute cette douleur ? Moi même je ne le savais pas.

31/  Après tout, je ne cherchais pas forcément à être unique. En pauvre homme que j’étais, je cherchais forcément autre chose.

32/ Que de désirs égoïstes de la part d’un homme qui dès le départ ne valait rien. Partait dans une quête d’idéal. Triste réalité.

33/ Des désirs égoïstes de la part de quelqu’un cherchant uniquement à être reconnu en tant qu’être à part entière.

34/ Voulant briser les règles de la société, s’affranchir de sa destiné et changer en cours de route ce que l’avenir le réservait.

35/ Malheureusement ce fut un combat perdu d’avance: seul contre la société, seul contre le monde, comment vous vous en sortir?

36/ Je ne me souviens plus exactement quand j’ai commencer à abandonner l’idée d’être moi, et de m’intégrer dans la société.

37/ Cela remonte à tellement loin que je ne sais pas si je pourrais m’en souvenir exactement.

38/ Une chose est sûre, je ne suis plus que l’ombre de moi même. Je n’ai plus le droit de me considérer comme tel.

39/ J’ai perdu ce droit lorsque je me suis abandonner à la société. Lorsque je me suis abandonner à ce système.

40/ Un système ou la différence et l’originalité n’existe pas, ou tous le monde est semblable, et classé de la même façon.

41/ Sans aucune distinction, nous sommes sous le joug de la société. Nous en sommes les esclaves.

42/ Des jouets tenant leurs rôles, jusqu’à qu’ils se cassent, ou qu’ils présentent des défauts Voila ce que nous sommes vraiment.

43/ Je n’ai jamais souhaité me fondre complètement dans la masse, passer inaperçu parmi tout le monde.

44/ Mais c’était tellement plus simple d’être comme tout le monde que d’être vraiment soi même. Dans ce monde en tout cas.

 

45/ Ce ne fut pas simple, ce n’était pas plaisir, mais c’était le seul et unique moyen pour pouvoir vivre “normalement”.

46/ Le seul moyen de ne pas être mis à l’écart, de ne pas être considéré comme une ignominie.

47/ Le regard des gens, la manière qu’ils ont de regarder les autres, le jugement qu’ils portent… D’une intolérance ahurissante.

48/ Au bout d’un moment, on arrive à bout, n’ayant plus la motivation de se battre, n’en voyant même plus l’utilité.

49/ La vie est d’une telle futilité, l’existence en elle même est veine. Même l’existence que l’on même est vide de sens.

50/ La vie en elle même est déjà bien assez dure à vivre sans qu’en plus nous ne cherchions le moyen de la complexifié d’avantage.

51/ Ce n’est que une fois que j’eus compris ceci que je termina ma lutte pour un idéal irréalisable.

52/ Je n’étais plus que l’ombre de moi même. Je faisais parti de la société. J’étais devenu un de ces jouets. Classé défectueux.

Fin/ Un “jouet” considéré comme ordinaire, un “jouet” sans histoire dans un monde sans histoire et dépourvu de toute originalité.

 

@So_Greaat

1/ comme tout les lundi, je rentrais chez moi en bus..

2/ ce jour la, il pleuvait à torrent, je me rappel. Extenuer j’attendais le bus, la tête poser contre la pancarte publicitaire.

3/ le bus arrivas assez rapidement, et je m’installa, à la seul et unique place ou personne ne me verrais.. MA place.

4/ j’avais pris la fâcheuse habitude, de me placer dans l’endroit le plus reclus du bus.

5/Je m’installa tranquillement, la musique dans les oreilles, je regardais devant moi le paysage défiler.

5/ plus le bus roulais, plus mes yeux se mettaient à devenir lourd, tres lourd, sans même que je m’en aperçoive, je m’endormis.

6/quand j’ouvris les yeux, j’étais la, toujour dans ce bus, cependant quelque chose me derangeais..

7/ les passager du bus avaient tous disparus …

8/ plus de chauffeur, ni d’enfant qui crient, ni de jeunes ado en crise… J’étais bien seul.

9/Je jetta un regard dehors, et cette simple vision, me glaca le sang de l’intérieur..

10/Le néant.. Dehors aucune lumière, je ne parvenais pas même à distinguer une ombre.

11/ je jetta un coup d’oeil à ma montre : 23h06.. Comment étais ce possible !

12/ le chauffeur m’avais définitivement oublier dans le bus.. Impossible. La panique me leva de mon siège..

13/ ou avais je atteris ? Je tenta d’appeler mes parents avec mon portable, rien à faire, il n’y avait pas de resaux.

14/ instinctivement je me dirigea vers la porte avant du bus qui était ouverte, et approcha mon visage dans la nuit noire..

15/Un long frisson me parcouru l’échine, de peur je recula.. Je n’y voyait vraiment rien.

16/ je me souvenus, que sur mon portable, j’avais installer une lampe torche.. Un gadget tres utile.

17/Je pointa mon portable vers la porte, quand l’ombre d’une batice se mis à apparaître dans la nuit.

18/le bus c’était arrêter devant une horrible bâtisse aux portes rouiller et aux fenêtres briser.

19/”Peut-être que je pourrais demander de l’aide à un des habitants” pensais je.

20/Je mis un pied dehors, quand une légère brise me parcouru le visage.. Étrange comme sensation.

21/ toujour la lampe torche allumer, je courus vers la bâtisse, et y poussa les portes.

22/ à l’intérieur, un hall immence et vide, la seul chose que je remarqua c’était ce sol, fait de damier noir et blanc.

23/Mon souffle resonais dans le hall.. Je gravis les premiers marches, et je me retrouvas en face de 4 grandes portes.

23/ cependans je me sentis iresistiblement attiré par l’une d’elles, elle portait le numéro “6”.

24/Je m’approcha de la porte, et d’un geste sec, je tocca.

25/La porte s’ouvris, et la un bourdement horrible se mis à parcourir mes oreilles, puis bientôt tout mon corps.

26/Tout se mis à trembler autour de moi, et ma vue se troubla d’un seul coup.

27/ la porte était ouverte, et la… Un visage qui m’étais entièrement familier ce mis à apparaître devant mes yeux..

28/ ce visage… C’étais le mien.

29/ je ne sais tres bien ce qu’il s’était produit cette nuit la, mais je me rappel qu’après cette scène..

30/J’étais la, de nouveau dans ce bus, le chauffeur scandais “terminus”, m’étais je simplement endormis ? Avais je rêver?

31/Tout cela reste un mystère pour moi aujourd’hui… /Fin

 

@Yamato95

Ep1: C’est aux Etats Unis que ce déroule ces évènements dans une sombre ville ou la chaos & les gangs font la loi.

Ep2: Les policiers sont tous devenus ripoux & la vie est devenu impossible pour les habitants constamment persécuter.

Ep3: Mais cette corruption n’allait pas durée car le gouvernement du pays décida de régler le problème avec perte et fracas.

Ep4: Des forces spéciales dont les membres sont venus de plusieurs branches de différentes armées d’élite de plusieurs pays sont engager.

Ep5: La mafia russe fut la première organisation mise au courant au sujet de cette force spéciale et leur chef décida d’attaquer en premier.

Ep6: L’immeuble qui était indiquer par leur informateur s’avérait être un piège du groupe d’intervention & la mafia perdu vite le contact.

Ep7: L’équipe d’intervention était organisée & suivait son objectif principal qui était de neutraliser les chefs des gangs de la ville.

Ep8: Petit à petit ils approchait de leur objectif principal en éliminant les chefs de gangs les plus faibles de la ville.

Ep9: En quelques mois il ne resta que les principaux gangs de la ville, mais les policiers corrompus aidaient secrètement les malfrats.

Ep10: Les chefs des gangs principaux de la ville organisaient une réunion dans un bâtiment abandonné en dehors de la ville.

Ep11: L’occasion était trop belle mais ça ressemblait aussi a une embuscade de la mafia pourtant le groupe n’avait pas le choix.

Ep12: Les chefs étaient bien là organisaient une embuscade qu’ils allaient tendre au gouvernement et a leurs soldats.

Ep13: En s’infiltrant dans le bâtiment discrètement les soldats se mettaient en position pour éliminer les leaders des gangs mafieux.

Ep14: Les soldats lancèrent l’assaut en éliminant les leaders présents, mais le représentant de la mafia russe n’était qu’un leure.

Ep15: Après l’attaque, des coups de feux retentirent à l’horizon et toucha deux membres du groupe à travers les murs.

Ep16: Le leader était sur le toit d’un immeuble à environ 3 kilomètres du bâtiment de la réunion, avec un fusil de précision anti-char.

Ep17: La situation était délicate pour le groupe d’intervention mais pas désespérée car il y avait des égouts sous la ville.

Ep18: Le premier groupe passa par les égouts pour surprendre le tireur pendant que le deuxième faisait diversion en couvrant le premier.

Ep19: Arriver au bâtiment du sniper, les soldats commencèrent l’infiltration de l’immeuble, puis lancèrent l’attaque!

Ep20: Le leader fut pris par surprise et sorti son arme de poing … en vain car un des soldat lui tira une balle dans la tète avant.

Ep21: La ville était libérée des gangs, les soldats récompenser ils prirent presque tous leurs retraite & les autres continuaient leur travail.

Ep22: Les ancien soldats vivaient donc une vie paisible avec leur famille, ou leur frères d’armes mais la mafia prendra sa revanche …