Rapport 4: Le Light novel et le Visual novel une nouvelle manière de raconter l’histoire

Rapport 4 : Light Novel et Visual Novel une nouvelle manière de raconter une histoire

À notre époque, notre société tente de trouver différents moyens de raconter des histoires ou de donner l’envie de lire aux plus jeunes comme aux plus grands. Au Japon, certaines personnes ont réussi à trouver une idée qui permet de remplir cette objectif grâce au numérique ou encore avec la mode des mangas.

Nous nous concentrerons principalement sur les Visual novels, mais un petit point sur les Light novels est nécessaire avant d’attaquer ce sujet. Les Light Novels sont des romans japonais, leurs particularités réside dans leurs contenus. Si le manga s’apparente à de la bande-dessiné, le Light novels prend sa base des deux modèles. Il y a de l’illustration mais elle n’ait que très légère (un dessin toute les deux pages), les paragraphes sont plutôt courts et font plus penser à des dialogues, mais ceci permet d’attirer l’attention des plus jeunes qui se laisse tenter par l’envie de lire le roman cacher derrière. Tout comme les manga, les Light novels se vendent par chapitres. Certains considère que le Light novels à commencer à réellement marcher en 1975 grâce à l’aide d’un certains publicateur : Asahi Sonorama. Mais l’un des premiers Light novels qui a plutôt bien marché se trouve être « Les chroniques d’Arslan » (qui connaîtra une réadaptation en 2013) publié en 1980 par Yoshiki Tanaka. D’autres on participé à la popularisation du Light novels jusqu’aux années 2000, où maintenant il figure comme une part très importante du Japon avec des chiffres astronomiques comme 20 milliards de yen de chiffres d’affaires en 2007 et 30 millions de tomes imprimés dans l’année. Il existe une multitude de Light novel aujourd’hui venant d’une idée originale ou s’adaptant d’un manga ou d’un jeu vidéo, quelques Light novels connu : No Game No Life, Overlord, Sword Art Online, D-Gray Man.

Enfin il existe une autre façon que les Japonais ont trouvés afin de donner l’envie aux gens d’écouter leurs histoires, mais cette fois de manière plus interactive, je veux parler du Visual novel.

Le Light novel se rapproche du Visual novel sauf que ce dernier ce lit numériquement car c’est un jeu vidéo. Mais le Visual novel reste un genre très peu apprécié des occidentaux justement à cause de son côté beaucoup trop narratif ne laissant pas au joueur la possibilité de jouer par lui-même. C’est pour cela que ce genre de jeux connaît un grand succès uniquement au Japon, même si depuis environ cinq ans, des Visuals novels comme Danganronpa, Persona ou Steins Gate font parler d’eux et arrivent à plaire au publique occidental. Le côté simulation de rencontre et de rendez-vous avec musque en fond est aussi un côté assez peu apprécié des occidentaux, même si ce genre de jeu plaît au Japonais, les goûts vidéo ludique entre le Japon et le reste du monde restent très partagés. Persona est un de ces Visual novels qui a réussi à se faire connaître outre le Japon grâce à son côté RPG extrêmement intéressant à jouer, pour Danganronpa c’est son histoire et son gameplay original sous forme de procès où l’on doit débusquer le meurtrier qui a permit son succès. Pour Steins Gate c’est simplement son histoire qui aura réussi à charmer les occidentaux malgré les réticences de ces derniers vis-à-vis des Visual novels. L’interaction dans les Visual novels est justement ce qui sépare le Light et le Visual novel. Dans ce dernier nous nous sentons comme embraquer dans l’histoire mais ce n’est qu’une impression donner car nous lisons des textes et à certains moments nous pouvons jouer à chercher des objets ou à répondre en rythme mais habituellement le jeu est scripté et aucun de nos choix changent quelques chose. Mis en part dans certains cas comme Steins Gate où nous faisons des choix qui influenceront la fin du jeu. C’est une manière de raconter une histoire tout en la vivant, grâce à cela beaucoup de gens de tout âge sont intéressé dans les Visual novels. Et quand je parle de tout âge, je parle évidemment aussi des grands, car des Visuals novels ont été fait uniquement pour des personnes plus âgés mais le contenus de ces derniers est d’un ordre un peu plus pornographique. Justement, point où le Visual novel se différencie du Light novel c’est au niveau des catégories qui sont plus variés : on peut aller de l’horreur avec Corpse Party à la science fiction avec Snatcher de Hideo Kojima créateur des célèbres jeux Metal Gear Solid.

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