Une journée normale

Rapport:Une journée ordinaire
Procédé: Raconter une histoire ordinaire avec des éléments anodins qui ferons comprendre que le personnage n’habite en réalité ,pas sur terre, et qu’il vit dans un futur lointain. Au début, tout dois sembler normal,puis, plus on avanceras dans l’histoire, plus on comprendra que quelque chose cloche, et que le personnage habite sur une autre planète. Les paragraphes serons de plus en plus court, mais de plus en plus précis et révélateurs.

Concept: le concept ne m’est pas étranger, il viens d’un livre de Bernard Weber l’arbre des possibles, à moins que ce ne soit issu d’un recueil de nouvelles de Phillip K Dick, appelé Un vaisseau fabuleux: et autres voyages galactiques. L’histoire racontais le périple d’un explorateur/archéologue qui découvrais d’énormes structure architecturales, qui aurait pus servir d’habitation à des formes de vies 100 fois plus grandes que lui.

On découvre par la suite que l’archéologue en question n’est autre qu’une fourmis qui vit dans un futur ou la race humaine n’est plus, et ou les fourmis sont la nouvelle espèce dominante de la planète. Il est en train de visiter une  de nos maisons. C’est ce concept que j’ai voulu incorporer à ma  nouvelle.

 

Un journée ordinaire
Nath se réveille dans son lit de bois bleu. Les draps sur son corps lui tiennent chaud en cet période caniculaire,alors ils enlève tout. Il s’habille comme il peux , avec ce qu’il lui reste dans son armoire. Il descend enfin alors que la porte de sa chambre se ferme derrière lui. Il fait vraiment une chaleur infernale,durant cette periode de l’année, mais c’est toujours mieux que quand la nuit tombe.Par la fenêtre de vitre par balles ,le paysage donne un air de fin du monde, et la lumière ambiante fait penser à l’aube. Nath se dépêche de sortir de chez lui pour rejoindre la grande avenue centrale. C’est le chemin qu’il prend tout le temps pour aller au lycée. Les commerçants commencent à ouvrir leurs boutiques, et les cafés ne sont pas encore pleins. Il s’engage dans la rue et commence à courir à travers le peu de gens qui commencent à remplir la rue.Soudain il bouscule quelqu’un, le choc lui fait mal à l’épaule, et il à  l’impression d’avoir heurté du métal.                                                          -“Excusez moi ,dit il à celui qu’il avait bousculé”                                                                             -“Il n’y à pas de mal humain” lui répond ont d’une voix monotone.Nath reprend sa course avec son mal d’épaule, espérant que cet incident ne l’ai pas mis en retard pour son tram. Il arrive essoufflé à la gare, n’étant pas habitué à courir en portant 15 kilos de plus. Le tram arrive comme glissant sur un coussin d’air, et , sans un bruit, s’immobilise. Les portes s’ouvrent et de nombreuses personnes en descendent. La diversité de ces personnes étonnait toujours Nath. Il y en avais de très grand , mais très fragiles, qui en général bénéficiant des places assises, on les appelles les frêles, et d’autres plus trapus et plus petit qui devaient être des natif d’ici. Nath lui se situait dans la moyenne , mais avait quand même du mal à s’habituer à son nouvel environnement.En effet il était arrivé il n’y à que cinq années standard , et selon le médecin qui le suivait,ce n’était pas assez pour que son corps soit habitué au changement d’environnement.Une fois dans le tram, un des “frêles” poussa légèrement Nath et s’excusa immédiatement. Nath lui répondis qu’il n’y avait pas de problèmes  et qu’il compatissait, lui même n’était pas natif d’ici et avait aussi un peu de mal à s’habituer à la gravité ambiante.-Oui mais vous vous n’avez pas d’exosquelette pour vous aider , si je l’enlevais, je me casserais en deux, lui répondit le frêle, ça doit être dur de faire sans non?                                                                                                                                     – Pas réellement, dit Nath, mon père est un natif, j’ai donc un peu moins de mal que vous, et puis au moins je n’ai pas à m’encombrer avec toute cette machinerie!-Ho donc vous n’êtes pas natif mais votre père si? -Oui, je suis venue ici pour les études, je l’ai donc rejoint, et vous?  C’est pour le travail,comme la plupart des gens ici!testtGrand Rue

Enfin, une sonnerie retentit et les portes s’ouvrirent, Nath dit aurevoir  au frêle et sortit sur le quai. L’air commençais à chauffer à cause des machines qui géraient la température de l’abri. Les énormes vitres par balles reflétaient un soleil rougeoyant, typique de cette période de l’année.Son école n’était désormais plus très loin, mais il lui fallut quand même courir pour être à l’heure. Sur la plaque de bronze affichant le nom de l’école était gravé: École d’aéronautique de Port Olisart ,2343.
Arrivé à l’école Nath couru en classe et arriva malgré tout 5 lminutes en retard. -alors Monsieur Nath, encore en retard à ce que je vois, lui fit remarquer son professeur. -Désolé m’sieur, j’suis pas d’ici vous savez, la gravité tout ça…
-Il faudra malgré tout vous y faire un jour, bien commençons la leçon d’aujourd’hui je vous prie, qui se rappelle du sujet de la semaine dernière?
– L’exode humaine vers l’espace ! répondit une jeune fille dans le fond de la classe.
-Très bien ! qui me rappelle qu’elle est la planète d’origine des êtres humains?
-monsieur, les êtres humains c’est tout le monde? Même les frêles?et les robots?
-Oui à la base nous venons tous du même monde.
-Heu mars? hésitât un garçon au premier rang.
La classe entière se mit à rigoler, et après quelques coup de stylo sur sa tablette, le professeur fit diminuer le volume des élèves.
-Non, mars n’a été terraformée qu’après le grand départ, la planète d’origine de l’humanité est la Terre.
-Sérieusement? mais elle est invivable avec les chutes de météores !!
-fut une époque ou elle l’était

Après les leçons de l’après midi, Nath sortit de sa classe pour rejoindre le réfectoire, il mangeas un plat à base de viande de poisson locale,  puis décida d’aller faire un tour au parc. Dans cet endroit on pouvais voir le ciel mieux que partout ailleurs, et il y avait même certains animaux en liberté. Une fois arrivé, il s’assit dans l’herbe bleu et commença à regarder le ciel. A coté de lui, d’énormes mammifères  à la peau grise, et aux cou imposant broutaient . Quelques hologrammes publicitaires volaient au dessus de tout cela, certains affichant  la date , ou les températures extérieures: 70 degrés.

Là haut, dans le ciel, derrière les vitres épaisses, un soleil se levait lentement depuis des mois déjà, et d’énormes planètes disparaissaient derrière les nuages.

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