Florian GADENNE

Florian Gadenne est un artiste plasticien ayant étudier à Nante. La problématique qu’il se pose est : Comment considérer son rapport aux choses en se basant sur les objets ?

 

Il expliquera la notion d’Aristote qui se nomme le Topos. Cela définie où est matériellement un objet, sont lieu, le matérielle dont il est constitué. Gadenne nous donne en exemple le crayon a papier. Il explique que topos et diffèrent de la Cora, on peu dire que le Topos d’une œuvre d’art est son format et ça matière alors que la Cora et l’essence, l’identité en consente évolution elle est indissociable de la chose sans lui l’objet n’existerai pas. Pour le cas du crayon c’est sont milieu, pour une œuvre c’est ce qui à inspiré sa création et son lieu d’exposition. Un cayon symbolise l’écrit, la parole, on peu dire que se sont ses Coras.

Gadenne nous apprend que les objets sont à& la fois crée de subjectivité et d’objectivité.

Il nous parlera aussi de la différence entre la réalité qui suppose la chose et le réel qu’on ne peu percevoir.

Il présente un formule : r = S/P   (réalité = Sujet en tan que Prédicat). Le prédicat sont les pensées, la parole, la manière dont les choses nous apparaisses.

En faite nous sommes dans notre monde, les animaux perçoivent un autre monde. La réalité serait dans le prédicat. En exemple : avec l’œil on perçoit les choses d’une manière, et avec un télescope d’une notre manière. Donc on peu dire que notre visions de la réalité est en constante évolution avec l’évolution des nouvelles technologies.

Florian Gadenne a fait une collection d’objet qu’il nomme “objet culte”.

Il part de leurs caractéristiques physiques, leurs Topos d’objets usés qu’il troque contre le même objet neuf, en les regardant on aura conscience  de leurs durabilitées. En exemple il a échangé un tapis neuf contre un tapie usé, une table pour boucher, une brosse usée pour chaussure, un ballet, il nous montre une photo d’un arbre sculpté par les arrières de voiture qu’elle se garaient et cogner l’arbre. On a ici un objet usé par la collectivité. Il nous montre les mains d’une vieillie travailleuse usé et déformés à force de retourner des matelas. Des semelles de chaussure usé qui nous permet de voir comment les personnes marche.

This entry was posted in création des romans 2017 rapport 2. Bookmark the permalink.