Rapport 1 Noelie Joyez

La technologie visuelle est arrivée dans les premiers foyers vers 1935 avec les télévisions en noir et blanc. 84 ans après nous avons accès à la technologie d’une façon bien plus simple, ce qui provoque des changements sociaux et un faussé vers la communication directe. Selon les études en 2019 il y a 2,5 milliards d’individus qui détiendraient un smartphone, cet objet qui tient dans une poche est le quotidien de milliard de personnes allant de la plus simple à la plus complexe des utilisations. C’est en 1992 que le premier téléphone portable est commercialisé, à cette époque le téléphone avait déjà cette forme rectangulaire mais était beaucoup plus gros et avait pour seule fonction de téléphoner, au fur et à mesure des années les innovations on permis à cet objet de pouvoir réaliser beaucoup plus de tâches comme communiquer avec des sms, prendre des photos ou naviguer sur internet et ses millions d’applications. Mais les caractéristiques esthétiques ont aussi changées, le portable qui avant était avec clavier et qui a développé les abréviations pour faciliter l’écriture comme « cc » pour « coucou » ou « dsl » pour « désoler », a été changé au fur et a mesure pour devenir une face totalement tactile. Son efficacité et sa simplicité lui a permis de rentrer dans nos vies de plus en plus tôt, au niveau de la vie privée mais aussi professionnelle.

Dans la vie privée les émoticône/emojis se sont développés. Le principe et de faire passer ce que l’on ressent à partir de caractères spéciaux ou de petits personnages fourni par le système, lorsqu’une personne est triste par exemple elle mettra dans son message les signes « ☹ », puis s’il est surpris il mettra « o_O » cette pratique et couramment utilisée par texto car il permet d’accentuer le sens de sa phrase mais aussi exprimer des émotions qui ne sont pas visible à distance à partir d’un sms. Aujourd’hui l’emoji est tellement ancré dans nos habitudes que nous pouvons en compter environ 230 avec des combinaisons de couleurs différents pour une grande partie, et chaque sortie nouvelles est annoncés officiellement ce qui rends cette chose virtuelle très attendu par les utilisateurs qui cachent leurs émotions derrière ces caractères. Le portable a aussi une place professionnelle grâce aux applications comme les réseaux sociaux ou les mails qui permettent de communiquer entre entreprises à n’importe quel instant, le système de données cellulaires a permis une accentuation de cette utilisation internet quotidienne que l’on tient entre nos mains ; suite a ça et a l’appareil photos intégrés au portable des métiers se sont créer sur les plateformes comme « instagrameuse/blogeuse » ce qui développe une nouvelle ère professionnelle.

 

Pour beaucoup, le téléphone portable est un objets qui c’est intégré à leurs mains. Étant quelque chose d’intime chaque personne a une façon différente de l’utiliser mais aussi de le protéger. Étant un objet fragile les marques ont développés différents styles pour différents portables et univers. Suite à ça nous avons donc une variante infinie d’esthétique de coques, de la plus solide à la plus mignonne. Ayant chacun une façon différente de penser et de ressentir les choses, l’analyse de la personnification des coques devient alors très intéressante car chaque choix sera le reflet de la personne qui l’utilise. Nous avons par exemple les coques avec porte carte pour les personnes organisées qui aime avoir leurs papiers à tout instant comme la CB, la carte d’identité, et permis de conduire;  les coques incassables pour les étourdis, les coques personnalisées pour les artistes dans l’âme, avec les dessins, les strass ou les autocollants; mais aussi les coques photos pour les sentimentaux. Pour les jeunes personnes la coque est principalement un signe de sa propre personnalité il devient alors primordial pour eux de bien choisir ou d’en avoir de plusieurs sorte différentes selon les humeurs. Aujourd’hui les coques deviennent le fond d’écran visible à autrui.

Ayant pris une place importante dans la vie de tous les jours le portable n’est pas que positif malgré ses fonctionnalités. Effectivement nous pouvons constater une certaine dépendance auprès des utilisateurs, et principalement si celui-ci est connecté sur les réseaux sociaux, mais aussi un changement de communications. Le fait de vouloir montrer ce que l’on fait sur internet peut être une dénaturation du moment, il n’est plus unique et privé mais exposé et exploité. La photographie par exemple était une pratique très coûteuse à l’époque, mais depuis l’ère du téléphone, elle est a la porté de chacun; des réseaux sociaux comme Instagram on donc exploité cette utilisation qui permet à un milliard d’utilisateurs par jour de pouvoir partager leurs photos publiquement a toute heures. Cette exposition peut être néfaste, car comme cela rentre dans notre quotidien nous pouvons devenir très vite dépendant, de plus le phénomène fait que nous avons besoin de montrer que nos vie sont comme ça en embellissant pour que l’image qu’a autrui de nous soit bonne. Évidemment comme toute dépendance il y a un risque de se faire mal psychologiquement, en regrettant  sa vie quand nous voyons les comptes influant, c’est-à-dire, une personne sans problème pouvant voyager à tout moment et s’offrir des choses sans compter; mais aussi physiquement à cause des complexe créé par l’image que donne ses réseaux du corps. Il faut que tout soit parfait ce qui éloigne le naturel de la personne face à ce qui l’entoure. Pour les émoticônes l’impact est différent, la communication peut devenir compliqué pour des personnes si elle se cache derrière de simple dessin. Mais il y a aussi le problème de la facilitées des sms, par exemple certains jeunes couples ne savent pas communiquer face à face lors d’un problèmes alors les conflits se passent à travers l’écran, mais il n’est que temporaire ce qui peut provoquer des peurs, des déceptions, etc.. Au XXIème siècle nous pouvons dire que l’ère numérique devient un frein à l’authenticité des moments et des personnes. Il faut donc apprendre à vivre sans pour garder certains moments pour nous, et ne pas abuser des technologies qui ne sont que virtuelles.

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