D’ALMEIDA Laureen Rapport n°3 : le Journal des chats de Junji Itô

Junji Itô est né le 31 juillet 1963 au Japon. C’est très jeune qu’il commence à dessiner. Peut à peut il réalise des mangas d’horreur et s’inspire de Kazuo Umezo, l’un des premiers mangakas d’horreur. Il deviendra par la suite le maître de ce style. Son premier manga Tomié (il remportera un prix)est publié en 1987 dans un magazine féminin dont la spécialité sont les récits d’horreur. Il publie ensuite en 1998, Spirale dans le Big Comic Spirits un magazine très  connu. Il réalise d’autres oeuvres très connu tel que Gyo et Uzumaki. Certains de ses magas seront adapté en animé.

le Journal des chats de Junji Itô est une autobiographie écrite par Junji Itô, un mangaka japonais cconsidéré comme étant le maître du manga d’horreur. Il est paru en France le 21 octobre 2015 aux éditions DELCOURT/TONKAM et au Japon en 2008.

C’est une histoire autobigraphique sous forme de manga qui compte une histoire réelle mais exagérée de deux chats (Yon  et Mu) appartenant à Junji Ito. Ayant emménager dans une nouvelle maison, il a une belle vie. Petit problème sa femme lui annonce qu’elle ramenera le chat de ses parents (Yon) et un petit chaton à la maison. L’auteur aimerait s’opposer mais se fait comvaincre par sa femme (qui est assez diabolique). L’un des chat a sur le dos ce qui ressemblerait à une tête de mort. Il finira par comprendre un jour que cela térrifie les gens, avec beaucoup de malice il s’en servira pour faire peur. Sa cible préféré n’est tout autre que Junji Ito.

Ce manga autobiographique est la plus connu de l’auteur au Japon.Pas mal de mangakas ont déja créés des mangas sur les chats (Chi, une vie de chat de Konami Kanata (Glénat); Street fighting cat de SP Nakatema (Doki Doki)…) et le grand public en raffole. Mais l’oeuvre de Junji Itô sors du lot ce n’est pas une oeuvres comme les autres. Il s’approprit les codes du manga d’horreur qu’il maîtrise évidemment à la perfection. Les scènes du quotidien sont montrés avec beaucoup d’humour. Les dialogues les plus simples et oridinaires prennent une tornure angoissante ( pour cause des personnages aux visages déformés, sans yeux). Les chats censés être de mignonnes créatures sont au contraire parfois démoniaque. Junji Itô tente de se faire accepter par les chats, mais il se fait malmener par eux. Ces chats n’hésite pas à imposer leur loi et à être méprisant envers l’auteur et au contraire très calme et aimant avec sa compagne. L’auteur  se met en scène avec beaucoup d’auto-dérision. Il est tiraillé par son amour et la peur de ses chats. Les situations ridicule sont exagérées (les scènes de câlins et de jeux avec ses chats sont assez malaisante).

Cette oeuvre est propre à son auteur on reconnait bien là son style horrifique. Il y a un réelle contraste entre ce que le lecteur peut s’attendre en lisant le titre de se manga (une histoire mignnone) et ce qu’il reçoit finalment (une histoire parfois angoissante).

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