RAPPORT 7:
A chaque fois que l’on discute avec quelqu’un par un réseau mobil, on emploi des emoticônes pour compenser le manque de présence, qui remplace l’expression que l’on veut faire passer en même temps que le message. Le destinataire peut alors s’imaginer quelle expression la personne à lorsqu’elle lui fait passer le message. C’est donc un très bon moyen pour faire nos sentiments à une personne que l’on ne peut renconter. Cependant, le fait d’utiliser un emoticône dans un dialogue internet rend tout de suite le message plus “sympathique” comme dans les expressions faciales dans les mangas, donc le fait d’insérer un smiley adoucit le message, réduisant tout le sérieux qu’il pouvait contenir.
De plus, le fait d’utiliser des emoticônes peut nous rendre accros à ce moyen pour s’exprimer. En effet, on est alors tenté de l’introduire dans chaque message que l’on envoie, dans chaque dialogue que l’on a avec quelqu’un vis à vis d’internet, et devient alors une normalité. L’emoticône fait aussi référence de plus en plus au réduction de mot comme le fait de remplacer “mort de rire” par “MDR”, ou encore de le retranscrire par “xD”. Les smileys sont donc utilisé pour exprimer nos sentiments, mais cependant peuvent tout aussi bien les réduire ou encore, peuvent donner au destinataire une mauvaise interprétation de notre pensée.
RAPPORT 8:
Grace aux médias mobiles il est beaucoup plus facile de s’exprimer sur quelque chose, en partageant son opinion ou encore en commentant celle d’une autre personne. La “création linéaire” s’est alors développée mais s’est aussi vulgarisée. En effet, le fait d’écrire ce que l’on pense n’est plus réservé à un certain type de personnes comme les auteurs de roman… qui écrivent pour commenter la politique, la critiquer… mais est devenu accessible à tous grâce à ce développement technologique.
Une population de plus en plus jeune se forme alors une opinion sur l’actualité et la partage, la défende, et peuvent alors développer une “création linéaire”. On instaure alors un nouveau style d’écriture pouvant, en étant publié sur des réseaux sociaux, être adopté de tous.
RAPPORT 9:
Pour moi, il est impossible de définir la “créativité litteraire de nos jours”, car elle représente de plus en plus de chose différente. En effet, par exemple, j’ai une amie qui s’est mise à écrire sur internet pour raconter ce qui se passe dans sa vie, des évènements plus ou moins grave… laissant le lecteur libre de “parcourir” sa vie, ou du moins la vie qu’elle veut bien montrer. Pour moi, ce style d’écriture est totalement différent de celui d’une autre amie qui elle, écrit plus à la demande de quelqu’un, sur une blog par exemple de personnes dépressives, qui se sentent mal dans leur peau. Son style d’écriture est fait non pas pour montrer quelque chose d’elle même, mais est fait pour aider quelqu’un. La personne “principale” dans cette histoire ne se retrouve plus être la même, en fonction de ce qu’elle fait en exprimant sa “créativité littéraire”. Il y a donc de plus en plus de “créativité littéraire” en fonction du développement du moyen de communication utilisé.
