La littérature virtuelle : Keitai Shousetsu

Le Keitai shouhetsu est une novel écrit sur les téléphones cellulaires en message (sms), Les chapitre sont composés de 70 à 100 mots, à cause de la limitation des caractères dans les téléphones

Ce genre va s’étendre à l’échelle internationale, aux Etats Unis, en Chine, en Afrique du sud et en Allemagne.

A la basse c’était des jeunes femmes qui écrivait ce genre, avec comme sujet les relations amoureuse, les grossesses, les triangles amoureux, les viols. Et à cause du succès croissant de ce genre, les sujets ont commencé à devenir vastes.

Les novels ne sont pas imprimées en général, ils sont soit envoyé par sms aux lecteurs, soit ils sont publiées sur des sites internet spécialisée dans ce domaine chapitre par chapitre. Les noms des auteurs sont rarement divulgués par soucis d’éthiques, à la place ils mettent des fausses identités ou des noms de plumes

Le premier roman a été publié en 2003 par un homme d’une trentaine d’années du nom de Yoshi, s’appelant  « Deep Love », il raconte l’histoire d’une lycéenne qui se prostitue et qui a une vision sinistre de la vie. Il est sorti en manga, en drama, et en film. Cela a rendu célèbre les keitai shousetsu,. A la vue de cette révolution, les éditeurs ont commencée à rechercher des jeunes auteurs de roman de keitai.

Dans les Smartphones, Les romans sont téléchargés sur les applications comme java ou les sites comme maho i land. Certains existent sur support papier. En Europe les novels ont commencé à arriver en 2007 promu par des gens comme Oliver Bendel et Wolfgang Hohlbein, et des éditeurs comme Cosmoblonde ou Blackbetty Mobilmedia.

Le téléphone portable crée un monde virtuelle pour les adolescents, comme dans les jeux vidéo les ils peuvent se mettre à la 1ère personne. Cela manie de tout recevoir sur son portable à changer l’habitude des japonais, ils achètent et téléchargent plus sur leur téléphone il n’y a plus de présence physique dans les magasins.

Cela a révolutionné la littérature, les romans ne sont pas écrits en argot mais on peut y mettre de la ponctuation de l’espace afin de donner un rythme. On est dans le minimalisme et l’art visuel.

En France on est resté sur le e-book (les livres numérisée) les livres sont vendues tardivement en 2008, mais il y a plusieurs problème, la place dans la mémoire, la disparition de notre bibliothèque si l’éditeur disparaît et la possibilité d’être tracé par les autorités.

On perd de notre liberté car pour publier notre roman il faut avoir un éditeur qui accepte de produire un si petit roman. Centaines personnes publient des histoires sur leurs blogs non officiel,

Ce style ouvre une autre porte de la littérature, mais elle participe aussi à la culture du keitai

This entry was posted in Rapport 3 21/11/2013, Uncategorized. Bookmark the permalink.