Clara et Flore

Romantique-
Je ne croyais pas dans l’amour
C’était juste une illusion pour
Nous séduire, nous tromper ;
Créer un vide qu’il faut combler.

Je n’étais ni triste, ni déprimée.
Je ne savais pas ce que je ratais.
C’était donc facile d’être contente ainsi,
Sachant pas que certains amours pourrait changer la vie.

Je connaissais un amour plus simple et sûr.
Qui saurait qu’il y avait un encore plus mûr ?
Des émotions et passions qui pouvaient bouleverser,
Qui seront si forts qu’ils empêcheraient de penser ?

Hélas, le désordre qui vinrent sans préavis.
Une fille de seize ans rencontrant un garçon une de dix-huit.
Carlos Clara Caceres de Cadiz et Flore de Montagne d’ici
Il Elle ria en me voir rougissant, respirant un air de confiance.

Une heure après il elle est venue me chercher
Il Elle me demanda de lui montrer mes lieus préférés.
Pour beaucoup de temps, on s’est promenées.
Je ne savais pas pourquoi mais je me sentais effrayée.

On n’est arrivé sur un champ entouré pas les arbres
Qu’il elle m’a dit que lui ‘elle aussi sentait quelque chose bizarre.
C’était l’amour, bien simple et doux.
Il Elle s’est approchée de moi, voulant me faire un bisou.

La peur que j’avais a été remplacée
Par une chaleur inconnue et des émotions insensées.
Et dans la nature, on s’est laissés perdues.
Voulant découvrir ce que c’était l’amour.

Romantique-
Ce n’est pas toujours homme et femme…

Soyons honnêtes—
L’amour ne doit pas être rigide

Ce n’est jamais si simple de rompre les expectations, on ne devait pas s’aimer ; c’était une profanation. Je ne le savais pas avant de suivre mon cœur, mais je n’avais pas besoin de me battre contre les rancœurs. Elle m’a ouvert les yeux d’une manière que je ne pensais pas possible. J’étais sur qu’il y avait des anges qui me suivi chantant des chansons imprévisibles. Mes parents ne l’auraient jamais accepté si les choses avaient était différentes. Mais ils n’allaient pas empêcher, peut-être ma seule chance à l’amour. C’est triste d’en penser, de croire qu’ils étaient si résignés. Mais on savait tous déjà que le déni pouvait point marcher.
Clara dépassa ma situation fatale et risqua son cœur pour moi. Ma peau pale et tête chauve, ma faiblesse, ne lui découragea pas. Elle est venue me voir, avant de retourner en Cadiz, pleurant, ses yeux rouges. Deux jours avant, elle avait caressé mes joues, elle m’avait parlé comme toujours, elle m’avait parlé de l’amour. Deux heures après, j’ai pris mon dernier souffle. Et maintenant que je suis en sous de ses pieds, elle me répète encore une fois, comment elle m’aime, et moi, c’est simple, je lui dis dans l’oreille qu’elle m’a sauvé la vie, et que je l’aime aussi. Elle se tourna, pour ne voir personne. Elle ria encore comme la première jour qu’on s’est connues. Elle sait que c’est moi, son cœur est plus fort que jamais.

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